Le vent à gorge noire, de Stav Sherez

Couverture Le vent à gorge noire

J’ai eu le plaisir de traduire ce polar excellent de l’Anglais Stav Sherez, paru chez Stock. Tout en étant efficace, le style est léché et parfois même poétique. L’intrigue est haletante, la psychologie des personnages est riche et complexe, et les flashbacks dans l’atmosphère étouffante de l’Ouganda des années 90 sont des  merveilles d’intensité.

Pour les amateurs de Londres et de roman noir, c’est un régal.

 

Pour ne rien gâcher, l’auteur, avec qui j’ai eu la chance d’échanger, est grand amateur de rock (c’est un ancien critique musical pour la presse britannique.) On peut le suivre sur Twitter ICI (ou en copiant ce lien : https://twitter.com/stavsherez)

 

 

Voici la quatrième de couverture :

Leur diplôme en poche, Jack, Ben et David, amis de toujours, s’offrent une aventure lointaine. Pour ne pas faire comme les autres, ce sera l’Ouganda. Un pays dont ils ne savent rien, pas même les dangers. Un voyage dont ils ne reviendront pas tous…
Des années plus tard, Jack Carrigan est devenu une légende au sein de la police londonienne. Il se voit chargé d’une enquête épineuse : le meurtre sauvage de Grace Okello, jeune étudiante d’origine ougandaise. S’agit-il d’un vulgaire crime crapuleux, ou bien ce meurtre est-il lié aux découvertes de l’étudiante sur les groupes rebelles qui se disputent son pays ? Cette enquête va plonger Carrigan, secondé par le sergent Geneva Miller, dans l’univers violent de la diaspora africaine et les refuges d’ex-enfants soldats pour le guider jusqu’aux secrets bien gardés de l’ambassade. Une intrigue sans frontières et à haut risque qui l’obligera surtout à affronter les fantômes de son passé.

« Un roman hors normes, au style impeccable, une intrigue choc avec l’Afrique pour toile de fond. » The Times