TERMINUS OASIS de Lawrence Osborne

 

Ma traduction de The Forgiven, de Lawrence Osborne, chez Calmann-Lévy

Revue de presse
TERMINUS OASIS

« Lawrence Osborne a d’abord conçu son roman comme le tableau méticuleux d’une société raffinée et à bout de souffle, que regarde un Maroc immobile, ancré dans des traditions millénaires. […] Il raconte sans trembler une histoire délicieuse et terrible, pour le seul plaisir aristocratique de charmer. »
Étienne de Montety, Le Figaro littéraire. Lire la critique

« Un impitoyable travail d’observation et une cruelle leçon de relativisme culturel offerte en bonus d’un excellent thriller. »
Alexandre Gefen, Marianne
Présentation de l’éditeur
David et son épouse Jo, couple bancal, se rendent au Maroc le temps d’un week-end de luxe. Une somptueuse fête y est organisée par leur ami Richard, un mondain propriétaire  d’une superbe kasbah à l’orée du désert. Il aime y convier les invités triés sur le volet pour de courts séjours de grand faste: champagne, repas gastronomiques, drogues et nuits blanches. Une vitrine d’opulence au sein d’une population qui survit péniblement, et qui regarde ces excès occidentaux d’un mauvais oeil.

David et Jo louent une voiture pour rejoindre les festivités, et en chemin, la nuit tombée, heurtent accidentellement un jeune Marocain. Paniqués, ils mettent son corps dans le co- re et arrivent en état de choc. Richard ne veut surtout pas compromettre sa bacchanale et ordonne de le cacher dans le garage, mais peu à peu les domestiques, les invités puis les villageois ont vent de la rumeur, et David se retrouve dans un face-à-face terrible avec le père de sa victime, un Berbère qui entend bien obtenir réparation. Pour David, la descente aux enfers ne fait que commencer.

« Un maître de l’élégance. »
The Guardian
« De son regard nomade sur le monde moderne déjà pâlissant, Osborne
s’impose avec un talent exceptionnel dans le paysage littéraire britannique. »
The London Sunday Times

« Chaque page tournée dévoile de fi nes et brutales observations.
Voici un auteur qui garde toujours les yeux ouverts. »
The New York Times

Sélection du Meilleur roman pour
The Guardian, The Economist et Library Journal.